D'abord je vous offre ça, tradition oblige :
Voilà, la journée commençait bien, dehors j'ai regardé le manège des hirondelles qui comme moi appréciaient enfin un beau ciel bleu et enfin le soleil. C'est un spectacle dont je ne me lasse jamais.
Et puis.. Tout d'un coup j'ai repensé au spectacle navrant de ce que j'avais vu hier soir à la télé chez Yves Calvi (et je demande pardon par avance aux dames, surtout celles que je connais et apprécie) : oui, le spectacle navrant de deux harpies - il n'y a pas d'autre mot - qui donnaient leur spectacle. Hors toute considération politique, on a pu assister à des démonstrations d'hystérie de NKM (bien que je commence à être habitué, je suis toujours surpris) ou de dédain de la part de la Pécresse. Alors là vraiment c'était un must dans ce qu'elles montrent de leur impolitesse (et je te coupe la parole...), de leur dédain pour l'interlocuteur... Et j'en passe ! Bref ça valait son pesant de café en énervement.
Ce matin, comme d'hab, je mets ma radio sur RMC et j'écoute Bourdin. Manque de bol - et là c'est politique - il y avait le président-de-la-république-d'origine-hongroise-sur-le-départ. Il n'avait à la bouche que le mot "crise" (il prononce crisse). Mais ce n'était pas ça le pire. Oh non. Le pire c'était l'étalage de ses promesses pour le futur. Toutes celles qu'il n'a déjà pas tenues depuis cinq ans et que - je l'espère vivement - il n'aura pas à tenir.
J-5 avant le départ de Sarkopen comme disent nos amis ibères ! A ce sujet je ne peux que vous inviter, si vous êtes sur Twitter, à suivre #RadioLondres. J'avoue que c'était un pure moment de jubilation, ce détournement des messages codés de la vraie Radio Londres sous l'occupation. Rien que pour ça, je suis devenu un accro à Twitter.
Sinon, je vais observer d'un œil critique les défilés et autres déclarations de cet après-midi. A mon avis, il y aura de quoi en parler.
Bon, je vais maintenant reprendre une vie normale. A suivre